Un meurtre vient d'être commis : un type, chez lui, a foutu un violent coup de marteau sur le crane d'un autre type. Le trouble s'empare du premier, il ne sait que faire pour se débarrasser du cadavre: il va le découper en morceau, le conserver au frigo, et le consommer au fil de ses repas.
Otomo commence à cartonner pour rendre violent l’impact d’une image; la mise en scène est agressive, crue, troublante. Les cases vides de parole sont plus abondantes et nous poussent à nous concentrer sur les faits. L'ensemble peut paraître un peu gore, l’anthropophagie n’est pas chose aisée à montrer, mais il y a toujours ce petit truc qui parvient à nous faire rire.