Les même potes que l'histoire précédente (UCHUU PATROL SIGMA) se retrouvent, mais cette fois si, pas de phénomène bizarre, juste une belle partie de domino qui finira par dégénérer.
Une mise en scène rapide, des cadrages pseudo-cinématographiques, une tension maintenue grâce à des personnages souvent pensifs ; les renversements de situation brutaux empêchent la monotonie; bref, Otomo commence à maîtriser l'art de la narration, son style n'est pas encore épuré, mais chaque chose en son temps.