Dans le Tokyo actuel (même si je peux supposer Osaka), les forces de l'ordre sont confrontées à une bande de samouraïs tout droit sortis de l'époque Togukawa. Ces derniers veulent apparemment reprendre possession du palais impériale.
Après une agréable surenchère de ses qualités graphiques, Otomo semble se replonger dans un style plus succin, où la gestuelle semble moins maîtrisée. Même si quelques scènes procurent des effets fort attractifs, avec une case qui joue la prémonition sur Akira, on reste un peu sur sa fin avec cette histoire ma fois peu consistante.
Peu être un récit fort antérieur seulement publié cette semaine là?